Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Dieu est ma force
24 mai 2019

Servir comme le firent les Israélites

    De nos jours, beaucoup de personnes ne font pas attention aux leçons à apprendre pendant la concertation avec les autres. J’ai découvert que plusieurs d’entre vous ne pouvaient pas du tout apprendre les leçons pendant la concertation avec les autres. La plupart d’entre vous s’accrochent à leurs propres idées, et quand vous travaillez au sein de l’Église, tu dis ta part et il dit la sienne, l’une sans aucun rapport avec l’autre, ne coopérant pas du tout vraiment. Vous êtes absorbés à seulement communiquer vos propres perceptions profondes, absorbés à seulement libérer les « fardeaux » au fond de vous, ne cherchant pas du tout la vie. Il semble que tu fasses le travail uniquement pour la forme, croyant toujours que tu devrais suivre ta propre voie nonobstant comment sont les autres, et que tu devrais échanger selon que le Saint-Esprit te guide, peu importe comment sont les autres. Vous n’êtes pas capables de découvrir les forces des autres et vous n’êtes pas capables de vous examiner. Votre façon de recevoir les choses est vraiment erronée. L’on peut dire que même en cet instant vous faites encore montre de beaucoup d’autosuffisance, comme si ce mal d’autrefois avait repris. Vous ne communiquez pas l’un avec l’autre pour parvenir à une ouverture totale, ou sur le type de résultat que vous avez atteint dans certaines Églises ou ton état intérieur tel que vécu récemment, et ainsi de suite – vous ne communiquez tout simplement pas de cette façon. Vous n’avez fondamentalement pas de pratiques telles qu’abandonner vos propres notions ou renoncer à vous-mêmes. Les conducteurs et les ouvriers ne pensent qu’à motiver et à stimuler les frères et sœurs par leurs échanges, et les adeptes ne savent que poursuivre par eux-mêmes. Vous ne comprenez fondamentalement pas ce que sont le service ou la coopération, et vous ne pensez qu’à avoir vous-mêmes la volonté de rendre à Dieu Son amour, avoir vous-mêmes la volonté de vivre le style de Pierre, et rien d’autre. Tu dis même que peu importe comment sont les autres, tu ne te soumettras pas aveuglément de toute façon, et que peu importe comment sont les autres, tu cherches toi-même à être perfectionné par Dieu, et ce sera suffisant. En fait, ta volonté n’a pas du tout trouvé une expression concrète dans la réalité. N’est-ce pas là tous les genres de comportements que vous démontrez de nos jours ? Chacun de vous s’attache fermement à sa propre perception, et vous désirez tous être rendus parfaits. Je vois que vous avez servi si longtemps et n’avez pas réalisé beaucoup de progrès ; notamment, sur cette leçon du travail d’équipe harmonieux, vous n’avez pas réalisé le moindre progrès ! En allant dans les Églises, tu communiques à ta manière et il échange à sa manière. Il y a rarement une coordination harmonieuse. Et les subalternes qui suivent le mouvement sont encore plus ainsi. Ce qui veut dire qu’il est rare que quelqu’un parmi vous comprenne ce qu’est servir Dieu, ou comment l’on devrait servir Dieu. Vous êtes confus et vous traitez de telles leçons comme des broutilles, à tel point qu’un grand nombre de personnes, non seulement ne pratiquent pas cet aspect de la vérité, mais agissent mal, même sciemment. En effet, même les personnes qui ont servi pendant plusieurs années se battent et se disputent entre elles. N’est-ce pas là toute votre stature réelle ? Vous, qui servez ensemble au quotidien, êtes comme les Israélites qui servaient Dieu Lui-même directement dans le temple chaque jour. Comment est-ce possible que vous qui êtes comme des sacrificateurs ne sachiez pas comment coopérer et comment servir ?

    En ce temps-là, les Israélites servaient l’Éternel directement dans le temple. Leur identité était celle de sacrificateurs. (Évidemment, tous n’étaient pas des sacrificateurs ; seulement quelques-uns qui servaient l’Éternel dans le temple avaient l’identité de sacrificateurs.) Ils portaient des couronnes octroyées par l’Éternel (ce qui signifie qu’ils avaient fait les couronnes selon les prescriptions de l’Éternel, pas que l’Éternel leur avait donné les couronnes directement). Ils portaient les robes sacerdotales octroyées par l’Éternel, pieds nus, pour servir directement l’Éternel dans le temple du matin jusqu’au soir. Leur service à l’Éternel n’était pas du tout désordonné ou une transgression délibérée ; il suivait entièrement les règles qu’aucune personne servant directement l’Éternel ne pouvait violer. Ils devaient tous se conformer à ces règles ; dans le cas contraire, l’accès au temple était interdit. Si l’un d’entre eux enfreignait les règles du temple, c’est-à-dire, si quelqu’un désobéissait aux commandements de l’Éternel, il devait être traité selon les lois transmises par l’Éternel, et personne n’avait la latitude de s’y opposer, personne n’était autorisé à le protéger. Peu importe pendant combien d’années ils avaient servi Dieu, tous devaient se conformer aux règles. C’est pour cette raison que durant tout ce temps, tant de sacrificateurs portaient les robes sacerdotales et servaient ainsi l’Éternel toute l’année durant même si l’Éternel ne leur accordait pas un traitement particulier ; ils allaient même devant l’autel ou dans le temple toute leur vie durant. Telles étaient leur loyauté et leur soumission. Pas étonnant que l’Éternel les ait bénis de cette façon ; c’est entièrement à cause de leur loyauté qu’ils ont reçu la faveur et ont été témoins de tous les actes de l’Éternel. En ce temps-là, quand l’Éternel œuvrait au milieu d’Israël, Son Peuple élu, Ses exigences pour eux étaient très rigides. Ils étaient tous très obéissants et étaient astreints par les lois, ce qui servait à assurer qu’ils vénèreraient l’Éternel. Tout cela formait les décrets administratifs de l’Éternel. Si parmi ces sacrificateurs il se trouvait quelqu’un qui n’observait pas le sabbat ou qui violait les commandements de l’Éternel, et qui était découvert par le peuple ordinaire, cette personne était emmenée immédiatement devant l’autel et lapidée à mort. Il n’était pas permis de déposer leurs cadavres dans le temple ou aux alentours du temple. L’Éternel n’avait pas autorisé cela. Si quelqu’un le faisait, il était traité comme quelqu’un qui offrait des « sacrifices étrangers », et jeté dans le grand puits et mis à mort. Évidemment, toutes les personnes de cette trempe perdaient leur vie, aucune d’entre elles n’était laissée en vie. Il y en a même qui ont offert « un feu étranger », en d’autres termes, ces personnes qui n’ont pas sacrifié aux jours consacrés par l’Éternel étaient consumées par le feu de l’Éternel avec l’objet de leurs offrandes, qui n’étaient pas autorisées à rester sur l’autel. Les exigences concernant les sacrificateurs étaient les suivantes : ils n’étaient pas autorisés à entrer dans le temple, et même dans le parvis extérieur du temple, sans s’être d’abord lavé les pieds, à entrer dans le temple s’ils ne portaient pas leurs robes sacerdotales, à entrer dans le temple s’ils ne portaient pas leurs couronnes sacerdotales, à entrer dans le temple s’ils étaient souillés par un cadavre, à entrer dans le temple après avoir touché la main d’une personne impure sans s’être d’abord lavé les mains, à entrer dans le temple après des relations sexuelles avec les femmes (cela n’était pas pour toujours, mais seulement pour trois mois) ; ils n’étaient pas autorisés à voir la face de l’Éternel au cours de cette période, ce qui veut dire que ce n’est qu’après trois mois qu’ils étaient autorisés à mettre des robes sacerdotales propres et à servir dans le parvis extérieur pour sept jours avant d’être en mesure d’entrer dans le temple pour voir la face de l’Éternel ; ils étaient autorisés à porter tous les vêtements sacerdotaux seulement à l’intérieur du temple et ils n’étaient pas autorisés à les porter à l’extérieur du temple, afin de ne pas souiller le temple de l’Éternel ; tous ceux qui étaient sacrificateurs devaient amener les criminels qui avaient violé les lois de l’Éternel devant l’autel de l’Éternel où ils étaient mis à mort par le peuple ordinaire, autrement, le feu descendait sur le sacrificateur qui l’avait vu. Ainsi, ils étaient loyaux envers l’Éternel de façon indéfectible parce que les lois de l’Éternel étaient trop rigides à leur égard, et ils n’osaient absolument pas violer Ses décrets administratifs en les traitant avec négligence. Les Israélites étaient loyaux envers Dieu parce qu’ils avaient vu Sa flamme, avaient vu avec quelle main l’Éternel châtiait les gens, et aussi parce qu’à l’origine, ils vénéraient l’Éternel dans leur cœur. En conséquence, ce qu’ils ont obtenu n’était pas seulement la flamme de l’Éternel ; ils ont aussi obtenu le soin et la protection de la part de l’Éternel, et la bénédiction de l’Éternel. Leur loyauté consistait à respecter les paroles de l’Éternel dans ce qu’ils faisaient, sans qu’aucun désobéisse. Quelqu’un venait-il à désobéir, le peuple exécutait toujours les paroles de l’Éternel et mettait à mort ceux qui s’opposaient à l’Éternel sans aucune marge pour la dissimulation. Particulièrement, ceux qui violaient le sabbat, ceux qui étaient coupables de débauche, et ceux qui volaient des offrandes à l’Éternel étaient punis plus sévèrement. Ceux qui violaient le sabbat étaient lapidés à mort par eux (les gens ordinaires), ou ils étaient fouettés à mort, sans aucune exception. Ceux qui commettaient des actes de lubricité et même ceux qui convoitaient une femme attrayante, ou qui donnaient libre cours aux pensées lubriques à la vue d’une méchante femme ou qui devenaient concupiscents à la vue d’une jeune femme – tous ces genres de personnes étaient mis à mort. Si quelque jeune femme qui n’avait pas la tête couverte ou voilée incitait un homme à avoir une conduite illicite, cette femme était mise à mort. Si c’était un sacrificateur (ceux qui servaient dans le temple) qui avait violé de telles lois, il était crucifié ou pendu. Aucune personne de cette catégorie n’était autorisée à vivre, et pas une seule ne trouvait faveur devant l’Éternel. Les proches d’une telle personne n’étaient pas autorisés à offrir des sacrifices à l’Éternel devant l’autel sur une durée de trois ans après sa mort, et ils n’étaient pas autorisés à avoir une part des sacrifices que l’Éternel accordait aux gens ordinaires. Ce n’est que lorsque ce temps était passé qu’ils pouvaient poser leur bétail ou leur brebis de première qualité sur l’autel de l’Éternel. S’il y avait quelque autre transgression, ils devaient jeûner pendant trois jours devant l’Éternel, en implorant Sa grâce. Leur adoration de l’Éternel n’était pas seulement due au fait que les lois de l’Éternel étaient si rigides et si strictes ; c’était plutôt à cause de la grâce de l’Éternel, et aussi c’était parce qu’ils étaient loyaux envers l’Éternel. Ainsi, leur service a été jusqu’aujourd’hui similairement loyal et ils n’ont jamais retiré leurs supplications devant l’Éternel. Aujourd’hui, le peuple d’Israël continue de recevoir le soin et la protection de l’Éternel, et jusqu’à ce jour, l’Éternel est encore la grâce au milieu d’eux, et Il demeure toujours avec eux. Tous savent comment ils devraient vénérer l’Éternel et comment ils devraient servir l’Éternel ; tous savent quelle attitude avoir pour recevoir soin et protection de la part de l’Éternel, car tous vénèrent l’Éternel dans leur cœur. Le secret du succès de tout leur service n’est autre que la révérence. Cependant, à quoi ressemblez-vous aujourd’hui ? Avez-vous quelque ressemblance avec le peuple d’Israël ? Penses-tu qu’aujourd’hui, le service consiste à suivre la direction d’un grand personnage spirituel ? Vous n’avez simplement aucune loyauté ni révérence. Vous recevez une grâce considérable, vous êtes équivalents aux sacrificateurs d’Israël parce que vous servez tous Dieu directement. Bien que vous n’entriez pas dans le temple, vous recevez et vous voyez beaucoup plus que ce que les sacrificateurs qui ont servi l’Éternel dans le temple ont reçu. Pourtant, vous vous rebellez et vous résistez beaucoup plus qu’ils ne le faisaient. Votre révérence est trop faible, et en conséquence, vous recevez très peu de grâce. Bien que vous consacriez très peu, vous avez reçu beaucoup plus que ces Israélites. N’est-ce pas là un bon traitement à votre égard ? Pendant l’œuvre au milieu d’Israël, personne n’osait juger l’Éternel comme bon lui semblait. Et vous ? Si ce n’était l’œuvre que Je fais au milieu de vous qui est de vous conquérir, comment pourrais-Je tolérer vos manières farouches d’agir pour couvrir Mon nom de honte ? Si l’ère dans laquelle vous vivez était l’ère de la Loi, aucun parmi vous ne resterait en vie eu égard à vos actes et à vos paroles. Votre révérence est trop faible ! Vous m’accusez toujours de ne pas vous avoir accordé beaucoup de faveurs et dites même que Je ne vous adresse pas suffisamment de paroles de bénédictions, que Je n’ai que des malédictions pour vous. Ne savez-vous pas qu’avec une révérence aussi faible, il vous est impossible d’accepter Mes bénédictions ? Ne savez-vous pas que Je vous maudis constamment et que Je fais tomber les jugements sur vous à cause du pauvre état de votre service ? Est-ce que vous sentez que vous avez tous été lésés ? Comment puis-Je accorder Mes bénédictions à un groupe de personnes rebelles et qui n’obéissent pas ? Comment puis-Je nonchalamment accorder Ma grâce aux gens qui jettent le déshonneur sur Mon nom ? Le traitement envers vous est déjà extrêmement bon. Si les Israélites avaient été aussi rebelles que vous l’êtes aujourd’hui, il y a longtemps que Je les aurais annihilés. Pourtant, Je ne vous traite qu’avec indulgence. N’est-ce pas là de la bonté ? Voulez-vous des bénédictions plus grandes que cela ? Les seuls que l’Éternel bénit sont ceux qui Le vénèrent. Il châtie ceux qui se rebellent contre Lui, ne pardonnant jamais à personne. Vous, les gens d’aujourd’hui, qui ne savez pas servir, n’avez-vous pas plus besoin de châtiment et de jugement de ce genre pour que votre cœur soit pleinement redressé ? Est-ce que le châtiment et le jugement de ce genre ne seraient pas une meilleure bénédiction pour vous ? N’est-ce pas votre meilleure protection ? Sans cela, qui d’entre vous pourrait supporter le feu ardent de l’Éternel ? Si vous pouviez vraiment servir aussi loyalement que le peuple d’Israël, n’auriez-vous pas aussi la grâce comme votre compagnon perpétuel ? N’auriez-vous pas aussi souvent la joie et suffisamment de faveur ? Est-ce que vous savez tous comment vous devriez servir ?

    Aujourd’hui, l’exigence que vous travailliez ensemble de façon harmonieuse est semblable à la façon dont l’Éternel a demandé à Israël de Le servir. Dans le cas contraire, votre service prendra fin. Puisque vous êtes des personnes qui servent Dieu directement, vous devez au moins être loyaux et obéissants dans votre service et vous devez être capables d’apprendre les leçons de manière pratique. Particulièrement ceux qui travaillent au sein de l’Église, quelqu’un parmi les sœurs ou les frères subalternes oserait-il vous traiter ? Quelqu’un oserait-il vous reprocher vos erreurs face à face ? Vous vous tenez haut au-dessus de tout, vous régnez vraiment comme des rois ! Vous n’étudiez même pas ni n’entrez dans une telle leçon pratique, et vous parlez toujours de servir Dieu ! À présent, l’on te demande de conduire un certain nombre d’Églises et, non seulement tu y renonces de toi-même, tu t’accroches même à tes notions et opinions propres, et tu dis des choses telles que « Je pense que cette chose devrait être faite de cette façon-ci, puisque Dieu a dit de ne pas être contraint par les autres, et que nous ne devons pas, de nos jours, nous soumettre aveuglément. » Par conséquent, chacun s’accroche à sa propre opinion, et personne n’obéit à l’autre. Bien que tu saches clairement que ton service est dans une impasse, tu dis toujours : « Selon moi, ma part n’est pas si loin. Dans un cas comme dans l’autre, chacun de nous a une part ; tu exprimes ta part et j’exprime la mienne ; tu échanges au sujet de tes visions et je parle de mon entrée. » Tu ne prends jamais de responsabilité en face d’un grand nombre de choses qui doivent être traitées, ou tu te débrouilles simplement, chacun se défoule en partageant sa propre opinion, protège prudemment son propre statut, sa réputation et sauve sa face. Personne ne veut s’humilier ni ne se proposera de corriger l’autre et d’être aussi corrigé afin que la vie puisse progresser plus rapidement. Lorsque vous travaillez ensemble, peu d’entre vous disent : « J’aimerais t’écouter échanger avec moi au sujet de cet aspect de la vérité, parce que je ne suis pas au clair quant à cela. » Ou disent : « Tu as plus d’expériences que moi sur cette question ; peux-tu me donner quelques directives, s’il te plaît ? » Ne serait-ce pas une bonne façon de le faire ? Vous qui êtes aux niveaux supérieurs, vous entendez beaucoup de vérité et vous comprenez beaucoup de choses au sujet du service. Si vous qui coordonnez pour travailler au sein de l’Église n’apprenez pas l’un de l’autre et ne communiquez pas, palliant les défauts les uns des autres, d’où pouvez-vous apprendre des leçons ? Quand vous affrontez une chose, vous devez échanger l’un avec l’autre, afin que votre vie en tire profit. Et vous devez soigneusement échanger au sujet de toutes sortes de choses avant de prendre des décisions. Ce n’est qu’en agissant ainsi que vous vous montrez responsables envers l’Église et non négligents. Après que vous avez visité toutes les Églises, vous devriez vous rassembler et échanger au sujet de toutes les situations que vous avez découvertes et des problèmes que vous avez rencontrés au cours du travail, et parler de l’éclairage et de l’illumination que vous avez reçus – c’est là une pratique indispensable du service. Vous devez parvenir à une coopération harmonieuse aux fins de l’œuvre de Dieu, pour le profit de l’Église et pour faire prospérer les frères et sœurs. Tu concertes avec lui et il concerte avec toi, en se corrigeant l’un l’autre, parvenant à un meilleur résultat de travail, afin de tenir compte de la volonté de Dieu. Seul cela est une vraie coopération, et seules de telles personnes ont une véritable entrée. Il peut y avoir quelque propos qui n’est pas convenable pendant la coopération, mais cela n’est pas important. Échangez plus tard à ce sujet et ayez-en une compréhension claire ; ne le négligez pas. Après un tel échange, tu peux suppléer aux défaillances des frères et sœurs. Ce n’est qu’en allant sans relâche en profondeur de cette façon-là dans ton travail que tu pourras atteindre de meilleurs résultats. À l’image d’une personne qui sert, chacun de vous doit être capable de défendre les intérêts de l’Église en tout ce qu’il fait plutôt que de veiller à ses propres intérêts. C’est inacceptable de faire cavalier seul, alors que tu le sous-estimes et qu’il te sous-estime. Les personnes qui agissent de cette façon ne sont pas dignes de servir Dieu ! Le tempérament de telles personnes est très mauvais ; pas même une trace d’humanité ne reste en elles. Elles sont Satan à cent pour cent ! Elles sont des brutes ! Même maintenant, les choses de ce genre se passent encore au milieu de vous, allant jusqu’au point de vous attaquer l’un l’autre au cours des échanges, cherchant intentionnellement des prétextes, rougissant du visage en vous chamaillant sur de petites choses, personne n’étant prêt à renoncer à lui-même, chacun cachant à l’autre ce qu’il a en lui, surveillant attentivement l’autre partie et étant sur ses gardes. Est-ce que ce genre de tempérament peut convenir avec le service à Dieu ? Un tel travail comme le vôtre peut-il être bénéfique pour les frères et sœurs ? Tu es non seulement incapable de conduire les gens sur un parcours de vie décent, tu injectes en fait tes tempéraments corrompus dans les frères et sœurs. Est-ce que tu ne blesses pas les autres ? Ta conscience est si mauvaise, pourrie jusqu’à la moelle ! Tu n’entres pas dans la réalité et tu ne mets pas la vérité en pratique. De surcroît, tu exposes sans honte ta nature diabolique aux autres personnes, tu n’as absolument honte de rien ! Les frères et sœurs t’ont été confiés, mais tu les conduis en enfer. N’es-tu pas quelqu’un dont la conscience est devenue pourrie ? Tu es totalement effronté !

    Source : L’Église de Dieu Tout-Puissant

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité
Dieu est ma force
  • Voici, Dieu est ma délivrance, Je serai plein de confiance, et je ne craindrai rien; Car l'Éternel, l'Éternel est ma force et le sujet de mes louanges; C'est lui qui m'a sauvé. (Ésaïe 12:2)
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité